J’AIME À SHERBROOKE
Il y a plusieurs activités à faire et c’est une ville plutôt tranquille.
Témoignage recueilli par Humains de Sherbrooke
J’ai commencé à m’intéresser au métier de barbier à l’âge de 14 ans. Je regardais des vidéos de barbiers sur YouTube et je trouvais ça vraiment intéressant. Je me suis dit que si ces hommes pouvaient le faire, je pouvais aussi. J’en ai parlé avec mon père et après y avoir réfléchi ensemble, j’ai décidé de m’inscrire à une académie privée à Montréal. Ce qui m’attiré dans ce milieu, c’est la créativité et le côté artistique. Le jour de mes 15 ans, j’ai donc commencé les cours. Durant trois mois, je montais à Montréal à toutes les fins de semaine pour suivre les cours. Je prenais l’autobus les samedis matins et je revenais en soirée. Je faisais le même aller-retour les dimanches. Après trois mois, j’ai passé l’examen et j’ai reçu mon diplôme. Encore aujourd’hui, c’est vraiment ma passion. Je suis heureux de pouvoir gagner de l’argent en faisant ce que j’aime. Je suis content quand, à la fin, je regarde le client et je le vois quitter avec le sourire. Pour moi, le barbershop, c’est vraiment un lieu de confiance. Les gens ne savent parfois pas où parler de certaines choses. Quand ils viennent au salon, ils savent qu’ils peuvent nous parler et qu’on va les écouter.
J’AIME À SHERBROOKE
Il y a plusieurs activités à faire et c’est une ville plutôt tranquille.
J'AIME MOINS À SHERBROOKE
La circulation des piétons est peu conviviale.
AILLEURS QU’À SHERBROOKE IL ME MANQUERAIT
Les gens / habitants.
SI J’ÉTAIS MAIRE DE SHERBROOKE
Mettre en place un réseau de parc à chien de voisinage.
JE SUIS À SHERBROOKE
J’ai suivi mes parents qui ont décidé d’immigrer pour l’aventure.