J’AIME À SHERBROOKE
La qualité de vie, l’accès au plein air, les rivières omniprésentes. Mais aussi la taille de cette ville qui reste humaine et accueillante.
Témoignage recueilli par Humains de Sherbrooke
Sherbrooke, c’est ma terre d’accueil, mon ancrage depuis 26 ans maintenant. Arrivée pour mes études, j’ai eu un coup de cœur pour cette ville et pour la région. Je ne l’ai jamais quittée. J’y ai trouvé un bel équilibre entre activités culturelles et de plein air, mais c’est surtout la proximité avec la nature, les grands espaces qui m’a séduite. Que ce soit tout près, au Mont Bellevue, ou un peu plus loin, dans les parcs nationaux d’Orford ou du Mont Mégantic, ces endroits me permettent de me ressourcer, de recharger mes batteries. Je me trouve privilégiée de profiter de cette qualité de vie, dans cet environnement. Les aléas de la vie ont fait que je ne serais probablement pas restée à Sherbrooke si je n’y avais pas rencontré des gens extraordinaires, une véritable famille d’adoption. Sherbrooke, ce n’est pas seulement la ville pour moi, ce sont aussi les femmes et les hommes que l’on croise, qui deviennent des amitiés si précieuses grâce à cette ouverture à l’autre. J’ai gardé mon équilibre pendant les 15 derniers mois en me ressourçant dans la nature mais maintenant, ce dont j’ai le plus hâte, c’est de pouvoir serrer dans mes bras ces amis précieux qui font que je me sens bien, ici…
J’AIME À SHERBROOKE
La qualité de vie, l’accès au plein air, les rivières omniprésentes. Mais aussi la taille de cette ville qui reste humaine et accueillante.
J'AIME MOINS À SHERBROOKE
Le développement urbain qui me semble parfois insuffisamment planifié pour assurer une bonne gestion de la circulation routière et bien sûr des cyclistes.
AILLEURS QU’À SHERBROOKE IL ME MANQUERAIT
L’accès à la rivière Magog.
SI J’ÉTAIS MAIRE DE SHERBROOKE
Je continuerais à développer les ressources et installations qui favorisent l’activité en plein air, été comme hiver!
JE SUIS À SHERBROOKE
Je suis arrivée pour la première fois pour un stage de 6 mois à l’Université et j’ai eu un coup de cœur pour le Québec, et surtout pour Sherbrooke. J’ai décidé d’y revenir 4 mois plus tard pour poursuivre mes études supérieures. J’y ai alors fondé ma famille.